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Vegetables and Herbs

Agroalimentaire & Agroentreprise

Croissance générationnelle de la demande d’aliments sains et propres

Les Canadiens, surtout les jeunes, donnent priorité aux fruits et legumes frais

Et beaucoup de gens insistent sur les produits locaux ou doméstiques

Mais le climat, bien sûr...

Produits domestiques pas toujours disponibles

Les lacunes saisonniers sont largement comblé par les importations longue distance

Lorsque seuls des importations coûteuses sont disponibles, on consomme moins

Selon nous

  • Le goût des Canadiens pour les fruits et légumes frais et propres augmente depuis des années. Il existe une forte préférence pour les produits locaux, particulièrement en Ontario, en Colombie-Britannique et dans les Maritimes. Pourtant, nous avons appris à nous contenter d’une disponibilité réduit, de prix plus élevés et d’une qualité inférieure en dehors de la brève saison estivale.

  • La pandémie de Covid-19 a réhaussé l’intérêt pour les kits repas, les plats cuisinés sains, l’alimentation saine et un approvisionnement alimentaire domestique résilient. Ironiquement, même si l’énorme industrie serricole de l’Ontario emploie des Canadiens, elle ne nous nourrit pas vraiment – ​​la plupart de sa production est exportée, tandis que les consommateurs ont tendance à acheter moins de produits, principalement importés, pendant les mois d’hiver.

  • Il existe une nouvelle génération de fermes intérieures canadiennes qui rendent des produits propres et de haute qualité, de la ferme à la table, disponibles de manière fiable toute l'année. Ils sont encore trop peu nombreux et ont du mal à faire évoluer un système de distribution orienté vers une chaîne d'approvisionnement à longue distance peu fiable.

  • Bien que leurs opérations soient économes en eau et en espace, l’importante empreinte carbone est moins mentionée , et l’optimisation du climat intérieur s’avère encore plus complexe que ce que la plupart des gens pensent. Les coûts élevés en énergie et en capital des installations peuvent rendre leurs produits chers, limités en variété et à peine rentables.

  • Le Canada a besoin de plus d’entrepreneurs alimentaires locaux et de fermes communautaires. Ils ont besoin d’un nouveau type d’installation AEC, moins considérable à acquérir, plus écologique et moins coûteuse à exploiter.

Répondre à la demande de produits locaux de la ferme à la table est bien plus difficile qu’il ne pourrait l’être.

Les besoins élevés en capitaux et en énergie constituent des barrières majeurs.

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